Mémoire du « Bâtiment en pierre », de la prison, de la terreur…
Une évocation poétique d’un monde dur, coloré par la présence d’un ange.
Des hommes, des murs, des pierres, des rêves, un labyrinthe, des femmes, un cinquième étage, un éclat de rire, A. et des histoires.
« La nuit recommence en d’autres lieux du monde, sur d’autres continents, les stores s’abaissent, les sonneries d’alarme, les sirènes mettent les hommes en garde contre la menace de l’obscurité ».
Un récit de l’envers, du derrière les murs et trois lettres : V, I et E. « N’est-ce pas en vertu de ce festival de lettres que nous avons survécu ? »
Asli Erdogan : Le bâtiment de pierre
Traduit du turc par Jean Descat
Actes Sud, Arles 2013, 109 pages, 13,50 euros
Didier Epsztajn